Vincent Delpierre
Depuis 1989, participe très régulièrement à des expositions collectives en Belgique, mais aussi en Espagne et en Italie. Acquisition par la Province du Brabant Wallon, Publications : La part de l’œil n°5, Quanto le Accademie le arti, Musée d’art contemporain ULB. Temps de l’art, reprise d’atelier, Collection du Brabant Wallon.
« Son travail se subdivise en deux parties qu’il juge complémentaires et indissociables, La première s’axe autour du jardin, du végétal, des planches de botanique et des plans de jardins. L’autre partie se construit autour de l’architecture dans son ensemble, et plus particulièrement autour du chalet, cette construction marquant le joint entre ses deux sources principales d’inspiration, puisque tout en étant une édification de l’humain, elle cherche à s’intégrer dans la nature. « Très paradoxalement, il ne représente pas de volume, mais il fait évoluer sa peinture sur des surfaces planes. Il commence par une couche de sérigraphie ou autre : les fondations, à laquelle il ajoute des plans pour préciser la forme du chalet ou le « déconstruire » en peignant des plans architecturaux à l’encontre de la logique. En quelque sorte, il désosse la structure, la décompose. « Chacune des œuvres se découvre, comme un jeu de surfaces et de couleurs, de lignes, & de découpage et de collage. » S. Herreman Un extrait de texte " une opinion très répandue, est que les chalets ne sont pas adaptés pour la peinture, mais un chalet peut apporter quelque chose car il est utile au dessin et à la peinture si le mariage architecture - peinture est réussi, l’un ne se concevra plus sans l’autre, le chalet est devenu nécessaire à son médium, il l’à exalté, il l'a construit et déconstruit, il a donné par sa représentation, un accent qu ‘ il n’avait pas auparavant " Vincent Delpierre 2003
“Vincent Delpierre propose un travail de renversement, d’inversion, de paradoxe, créant par l’espace de l’ oeuvre, la temporalité du vertige. Non pas d’un vertige tragique ou malheureux, mais de l’advenue de petits vertiges qui sont une façon de se perdre dans l’espace du tableau, c-à-d du paysage. On disparaît dans sont tableau comme on se perd dans la nature, en s’y évaporant. Il orientalise la vision occidentale en nous présentant des paysages verticaux incluant de cette manière un déroulement du paysage qui ne correspond plus à l’étendue d’une ligne d’horizon .” Chakè MATOSSIAN “ temps de l’art , reprise d’atelier” le 3/3/1994
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Artiste de La Communauté Française de Belgique ![]() |
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